Présentation

Élise Louvain, 81 ans, est morte dans son lit à la suite d'une longue et douloureuse maladie. Elle laisse derrière elle Gérard, son mari, qui n'a plus toute sa tête depuis longtemps. Aussi, lorsque celui-ci invite ses enfants et ses petits-enfants dans sa maison de campagne pour fêter ses noces de camélia, la nécessité d’une mise sous tutelle s’impose à tous.

À l’occasion de cette ultime réunion familiale autour de l’aïeul, resurgissent les souvenirs et les secrets que tous croyaient bien enfouis.

Comme on se quitte est un GN court, prévu pour quatorze joueurs, qui narre l'histoire d'une famille de petite bourgeoisie provinciale, à notre époque. Articulé en trois actes, le jeu se concentrera autour d'un long repas dominical où les caractères et les fêlures de chaque personnage seront dangereusement exposés.

Il s'adresse à des GNistes motivés pour jouer des émotions fortes dans un contexte pourtant anecdotique, et n'étant pas réfractaires à l'idée d'user de techniques de jeu peu conventionnelles.

Si le jeu à proprement parler se déroule sur une seule journée, il sera indispensable d'être présent à la soirée de la veille afin de faire connaissance avec tout les participants. Nous profiterons de cette soirée pour organiser le briefing ainsi que des ateliers d'apprentissages des outils de narration spécifiques au jeu.

Les frais d'inscription sont de 15 euros, 24 cents, et un Mars. Cette somme servira principalement à l'élaboration d'un gros repas sur la journée de jeu. Il est par ailleurs nécessaire d'être adhérent de Cent Balles et un Mars (5 euros à l'année, gratuit pour les détenteurs d'une licence FédéGN)

Le Facebook de l'asso
L'adresse mail : centballesetunmars@hotmail.fr

La version original du jeu a été critiquée (ce qui est mal !) sur le blog ElectroGN. Même si Comme on se quitte a pas mal changé depuis LICAN, cet article peut vous donner une idée générale. En gros, vous tenez compte des points positifs, vous enlevez les points négatifs, vous rajoutez encore des points positifs imaginaires et vous vous dîtes que de toute manière y aura à manger

Critique de LICAN